Mammifères : derme
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Jonction dermo-épidermique
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La membrane basale riche en glycosaminoglycanes est P.A.S. positive. |
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La coloration de Wilder met en évidence les fibres réticuliniques de la jonction dermo-épidermique. Elles sont orientées perpendiculairement à la surface cutanée. |
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La lame basale contient des protéines comme la laminine qui a été détectée sur ce prélèvement cutané par un anticorps (antilaminine) couplé à un fluorochrome (l'isothiocyanante de fluorescéine ou FITC). |
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En M.E.T., la
jonction dermo-épidermique est caractérisée par :
- une lamina lucida (translucide aux électrons), - une lamina densa (dense aux électrons), - une lamina sub-basale fibrillaire, - des hémidesmososmes. |
Derme papillaire
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C'est un tissu
conjonctif lâche,
richement
vascularisé
et
innervé
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Cette image permet d'observer l'engrenage entre les papilles dermiques et les crêtes épidermiques. (Peau face palmaire humaine). |
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La
taille des papilles dermiques est fonction de l'épaisseur de l'épiderme
et surtout des couches vivantes.
Dans ce groin de porc, par exemple, elles sont très développées. Richement vascularisées, elles assurent une bonne oxygénation et nutrition des kératinocytes. |
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Dans les peaux fines comme celle de ce front humain, les papilles dermiques sont plus discrètes. |
Derme réticulaire
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Relativement épais, c'est un tissu conjonctif dense en fibres collagènes pour la plupart orientées parallèlement à la surface cutanée. |
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De nombreuses fibres élastiques, mises en évidence par l'orcéine, s'interposent entre les faisceaux de fibres collagènes du derme réticulaire. |